COMBATTONS LE RECUL SOCIAL! ORGANISONS PARTOUT, LA RIPOSTE, LA MOBILISATION ET LA GRÈVE
Alors que la colère sociale gronde dans tout le pays, la nomination du nouveau premier ministre prouve une fois de plus le mépris que le président Macron porte aux travailleuses et travailleurs.
Il est révélateur aussi en partie de l’échec subit par le camp macroniste et, plus globalement, du camp réactionnaire.
L’objectif du président est clair : dérouler son programme politique au service du patronat et des plus riches.
Pour 2026, dans le budget préparé par Bayrou, figuraient déjà :
- Le gel des salaires, du point d'indice, des pensions et des prestations sociales
- Des coupes de plusieurs milliards pour les collectivités, des suppressions de postes, le non remplacement des départs à la retraite
- Des attaques contre la Sécurité sociale et les malades
- La révision du Code du travail par ordonnances
- La suppression de jours fériés
Aujourd’hui, avec Lecornu, rien ne change : la même logique continue, celle qui sacrifie les agent·es, les salarié·es, les retraité·es, les jeunes et les privé·es d’emploi, pendant que le patronat et les plus riches se gavent.
Pendant que la France compte quasiment 10 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, des records de dividendes et d'enrichissement des millionnaires sont atteints.
- 211 milliards d'euros d'aides aux entreprises
- 80 milliards d'exemption de cotisation sociales
- 98 milliards de dividendes du CAC40
- 100 milliards de fraude fiscale...
D'AUTRES CHOIX SONT POSSIBLES
Les richesses produites par les travailleuses et les travailleurs doivent servir à augmenter nos salaires, financer nos retraites, augmenter les emplois, renforcer nos Services Publics et notre sécurité sociale.
Face aux attaques et aux politiques d’austérité, nous n’avons pas d’autres choix que de faire reculer gouvernement et patronat pour imposer le progrès social, la justice et la paix !
Le 10 septembre, la riposte sociale dans toute la France et dans notre département a été un succès, ce n’est qu’un début.
Ensemble, dans l’unité, construisons la mobilisation.


